HISTORIQUE DES MINISTRES
renouer avec l'histoire
Au service des citoyens
Confiance citoyenne
64 ans d’engagement au service des citoyens sénégalais
Depuis 64 ans, le Département en charge de la Famille et des Solidarités se consacre à l’amélioration des conditions de vie des citoyens sénégalais. Créé pour répondre aux défis sociaux et promouvoir l’inclusion, il a su évoluer pour s’adapter aux mutations de la société. Ce département est le moteur des politiques publiques en faveur des familles, des femmes, des enfants, des personnes en situation de vulnérabilité, et des communautés en quête d’équité sociale. En six décennies, il a marqué l’histoire par son engagement constant pour la solidarité nationale, œuvrant pour un Sénégal plus juste, où chaque citoyen trouve sa place et sa dignité.
Madame Maimouna DIEYE
Madame Maimouna DIEYE
Ministre de la Famille et des Solidarités
Gouvernement SONKO
5 avril 2024 à aujourd’hui
Madame le Ministre de la Famille et des Solidarités ne se fixe pas de limites. Professionnelle de l’industrie pharmaceutique, actrice de développement, Madame Maïmouna DIEYE a cette force de croire que tout est possible.
Elle fait partie de ces femmes engagées qui contribuent à faire bouger les choses. Trois décennies d’expérience dans le secteur du médicament marquée par une franche collaboration avec toutes les parties prenantes du secteur de la santé au Sénégal, plus de 40 années d’engagement citoyen au service des couches défavorisées et une vie au service de la collectivité. Madame le Ministre Maïmouna DIEYE donne envie de se dépasser. Et, depuis le 5 avril 2024, son nom figure sur la liste du Gouvernement du Sénégal. Elle est la ministre de la Famille et des Solidarités.
Une responsabilité qu’elle compte assumer pleinement. D’autant plus que, précise Madame le Ministre Maïmouna Dièye, le Président de la République a mis en place le projet de transformation systémique. Lequel place la famille, la femme et la solidarité au centre des priorités. Ainsi, lors de sa prise de fonction, elle a exhorté ses collaborateurs et fonctionnaires de l’État à plus de rigueur dans le travail pour atteindre les objectifs fixés.
Quête perpétuelle de la connaissance
Madame le Ministre est une femme dévouée et rompue à la tâche. Son bagage intellectuel et ses qualités humaines en sont les fondements majeurs. C’est en 1985 qu’elle obtient son Baccalauréat A3 au Collège Jean de la Fontaine à Dakar et son BTS en Actions commerciales à l’Institut Pigier de Dakar, deux ans après. Elle ne s’arrête pas là. Sa soif d’apprendre est insatiable et elle saisit la moindre occasion pour enrichir ses connaissances. En attestent ses nombreuses formations faites ici et ailleurs.
En 1987, elle décroche un diplôme au Michigan à l’American English Language Program (AELP). Un an plus tard, elle ajoute une corde à son arc en décidant de suivre une formation en Marketing et Communication à l’AELP. En 1989, elle obtient son diplôme de niveau 4 en Arabe à l’Institut Islamique en 1989.
Quelques années plus tard, Madame le Ministre Maïmouna DIEYE s’envole pour la Suisse. Elle y fera des formations en Marketing/Management avec les Laboratoires Dr Grossmann ag. dans la ville de Bâle, en 1999, 2000 et 2001. Totalisant deux décennies de formations annuelles en Leadership, Marketing et Communication (de 1995 à 2015), elle est titulaire d’une certification en Marketing et communication obtenue à Anvers en Belgique (2009-2010).
Son amour pour la quête de la connaissance l’a poussé à décrocher son Good Governance Executive Leadership Program (GGEL) à l’Institut Panafricain de Développement Local PIMD à Washington. Elle va s’inscrire au Cabinet RNC Reengineering consulting de Dakar, en 2023, pour le renforcement des compétences managériales.
Expériences professionnelles
La marathonienne accomplie est du genre à bien connaître le tracé de sa course. De 1993 à 2009, elle occupe, en Suisse, le poste de Déléguée médicale, superviseure sous régionale avec le Laboratoire DR Grossmann ag. Elle faisait partie aussi d’une équipe de 15 délégués, Sénégal, Côte d’Ivoire avec le Laboratoire Dolisos en France (1999 / 2005) avant d’être affectée au Mali, en Guinée Bissau et République de Guinée de 2000 à 2007 pour le compte des laboratoires Sussex.
Depuis 2016, Madame le Ministre Maïmouna DIEYE est la directrice d’Agence de représentation des laboratoires pharmaceutiques. Elle collabore avec des industries basées en Belgique, en Inde, en Italie, entre autres.
Au-delà de son parcours dans le milieu de la santé, la maire de la Commune de Patte d’Oie n’est pas inconnue dans les réseaux des femmes. Elle a été la Secrétaire générale de Business and Professional Women de 2015 à 2017 et la Chargée des relations publiques puis Secrétaire Générale de Women International Leader for the Peace and Freedom (2019-2021). Elle est membre du bureau au Caucus des femmes et de la Convergence panafricaine de souveraineté respectivement depuis 2018 et 2022.
En 2022, elle est également la cofondatrice de l’Alliance de femmes pour l’équité et le développement (Afed). Elle gère aussi la communication du Conseil Sénégalais des Femmes depuis 2018. Et, elle s’active dans le Réseau de communication et de Développement des Femmes du Sénégal ex Femnet Sénégal et dans le Projet activistes africains pour la justice climatique depuis 2021.
Madame le Ministre Maïmouna DIEYE, c’est aussi un engagement dans le mouvement associatif et social. C’est en 2016 qu’elle est devenue la Secrétaire générale chargée de la communication de la Ligue Sénégalaise Contre le Cancer (Lisca). Ceci, avant de prendre le poste de Secrétaire Générale chargée de la décentralisation de ladite ligue de 2019 à 2024.
Depuis 2012, elle est la présidente de l’Association Solidarité Entre Nous (Senou) qui est un organe de prise en charge des Daaras et autres actions sociales et humanitaires.
Humaniste dans l’âme
En sus, elle est la présidente de l’Association des sénégalais de retour de Belgique (Aser/Belgique), la Marraine de l’École « Keur Maïmouna » de Oulampane en Casamance, actrice dans la Réinsertion des Émigrés de Retour en collaboration avec CARITAS et OIM, actrice de la Promotion de la Calebasse filière porteuse au Sénégal, actrice dans la Protection de la Zone des Niayes Poumon Vert de la Région de Dakar pour un rééquilibrage écologique, réalisatrice d’une campagne agricole de 03 ans à Koumpentoum sur le coton, le Riz, l’arachide, la calebasse en collaboration avec la Sodefitex, initiatrice de projets domestiques de développement intégrés pour l’autoconsommation (aviculture, culture de table, pisciculture, cuniculture).
Madame le Ministre Maïmouna DIEYE est également la Présidente du Réseau Samadev-international qui est né pour le financement de groupements de femmes avec des mécanismes innovants et participatifs dans plusieurs départements (Oussouye, Ziguinchor, Bignona, Sedhiou, Sokone, Keur Massar, Dakar). Bénévole à Médecins Sans Frontières en Belgique, elle est aussi la présidente de l’Association musulmane de développement de la Patte d’Oie (Atacpad) et est actrice de l’environnement avec le reboisement de 5000 arbres utiles.
Elle est à l’origine de la création du concept des « Causeries entre Femmes » pour le leadership et l’engagement politique féminin. Ce, en plus d’être la Représentante de la structure de Microfinance Internationale Sénégal-Belgique. Mieux, elle est dans la coopérative Coofinees. Laquelle est une initiative qu’elle a portée en collaboration avec l’Union Européenne.
Polyglotte, Madame le Ministre Maïmouna DIEYE parle français, anglais, néerlandais, arabe et wolof et est bien dans l’écriture de ces langues à l’exception de la dernière citée. Elle est ceinture noire en Karaté et a été trois (3) fois Championne du Sénégal.
Madame Thérése Faye Diouf
Madame Thérése Faye Diouf
Ministre de la Femme, de la Famille, du Genre, de la Protection des Enfants, du Développement communautaire, de la Solidarité nationale et de l’Equité sociale et territoriale
du 9 mars 2024 au 2 avril 2024
Madame Fatou Diané Gueye
Madame Fatou Diané Gueye
Ministre de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des Enfants
du 17 septembre 2022 au 11 octobre 2023
Ministre de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des Enfants
entre le 11 octobre 2023 et le 6 mars 2024
Madame Ndèye Saly Diop Dieng
Madame Ndèye Saly Diop Dieng
Ministre de la Femme, de la Famille et du Genre
6 septembre 2017 au 5 avril 2019
Ministre de la Femme et de la Famille
7 avril 2019 au 14 mai 2019.
Ministre de la Femme et de la Famille
14 mai 2019 au 28 octobre 2020
Ministre de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection des Enfants
entre le 1er novembre 2020 et le 17 septembre 2022
Madame Mariama Sarr
Madame Mariama Sarr
Ministre de la Femme, de l’Enfant et de l’Entrepreneuriat féminin
entre le 4 avril 2012 et le 1er septembre 2013.
Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfance
du 6 juillet 2014 au 6 septembre 2017
Madame Anta Sarr
Madame Anta Sarr
Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfance
du 1er septembre 2013 au 6 juillet 2014.
Madame Ndèye Khady Diop
Madame Ndèye Khady Diop
Ministre d’État, Ministre de la Famille, de la Solidarité nationale, de la Sécurité alimentaire, de l’Entreprenariat féminin, de la Microfinance et de la Petite enfance
entre le 30 avril 2009 et le 4 avril 2012.
Madame Awa Ndiaye
Madame Awa Ndiaye
Ministre de la Famille, de la Solidarité nationale, de l’Entreprenariat féminin et de la Microfinance
entre le 25 juin 2007 et le 30 avril 2009.
Madame Aïssatou Mbodj
Madame Aïssatou Mbodj
Ministre de la Femme, de la Famille et du Développement social
entre le 22 avril 2004 et le 25 juin 2007.
Aïssatou Mbodj, ou Aïda Mbodj, née à Bambey, Département de Bambey, région de Diourbel, au Sénégal, est une femme politique sénégalaise qui a été ministre à plusieurs reprises.
Biographie
Aïssatou Mbodj, surnommée la « Lionne du Baol », a d’abord été membre du Parti socialiste du Sénégal (PS) et est ensuite passée au Parti démocratique sénégalais (PDS). Elle est maire de sa ville natale de Bambey, jusqu’à ce qu’elle soit remplacée par Pape Diouf en 2000.
Dans le premier gouvernement de Macky Sall (du 21 avril 2004 au 23 novembre 2006), elle est ministre de la Femme, de la Famille et du Développement social. Elle est toujours en poste après le remaniement à l’origine du second gouvernement de Macky Sall (du 23 novembre 2006 au 19 juin 2007), cette fois avec des fonctions élargies et le titre de ministre de la Femme, de la Famille, du Développement social et de l’Entreprenariat féminin.
Aux élections législatives de juillet 2007, Aïssatou Mbodj est élue pour la première fois sur la liste nationale de la coalition SOPI en tant que membre de l’Assemblée nationale du Sénégal. Elle prend alors les fonctions de quatrième vice-présidente de l’Assemblée. Aux élections locales de 2009, elle se présente à nouveau au poste de maire de Bambey mais n’est pas été en mesure de l’emporter contre le titulaire Pape Diouf, affilié au parti Rewmi d’Idrissa Seck.
En 2009, elle est nommée ministre de la Transformation alimentaire des Produits agricoles.
Aux élections législatives sénégalaises de 2012, Aïssatou Mbodj est réélue membre de l’Assemblée nationale sur la liste nationale du PDS. En 2014, elle devient présidente du département de Bambey et occupe ce poste jusqu’en avril 2016. Le 14 octobre 2016, elle reprend le poste de présidente du groupe parlementaire libéral et démocrate. Aux élections législatives sénégalaises de 2017, elle est réélue membre de l’Assemblée nationale, où elle représente les intérêts de Bambey.
Madame Awa Guèye Kebe
Madame Awa Guèye Kebe
Ministre de la Petite enfance
entre le 4 mars 2001 et le 5 novembre 2002.
Ministre de la Famille et de la Solidarité nationale
entre le 6 novembre 2002 et le 22 avril 2004.
Ministre de la Famille et de la Solidarité nationale
entre le 22 avril 2004 et le 22 avril 2005.
Madame Ndioro Ndiaye
Madame Ndioro Ndiaye
Ministre du Développement social
entre le 5 avril 1988 et le 27 mai 1990.
Ministre de la Femme, de l’Enfant et de la Famille
entre le 8 avril 1991 et le 15 mars 1995.
Madame Ndioro Ndiaye, née le 6 novembre 1946 à Bignona (Casamance), médecin de formation, est une femme politique sénégalaise, plusieurs fois ministre, qui fut également directrice générale adjointe de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).
Biographie
Après des études de médecine à Dakar, Bordeaux et Paris, elle devient l’une des deux premières Africaines reçue à l’agrégation de médecine. Elle exerce ensuite les fonctions de chef du département d’odontologie et de stomatologie à l’Université Cheikh Anta Diop.
Elle est nommée ministre du Développement social dans le gouvernement socialiste formé en 1988, sous le deuxième mandat du président Abdou Diouf. En tant que ministre de tutelle, elle est confrontée au conflit sénégalo-mauritanien qui éclate en 19891. Elle coordonne des opérations humanitaires et recherche des solutions pour les réfugiés, tant sénégalais que mauritaniens. Dans le gouvernement du 27 mars 1990 elle devient ministre délégué auprès du Président de la République chargé de la Condition de la Femme et de l’Enfant. Dans les gouvernements formés par Habib Thiam en 1993, on lui confie le ministère de la Femme, de l’Enfant et de la Famille2. Aminata Mbengue Ndiaye lui succède à ce poste en 19952, alors qu’elle-même, en tant que présidente de la Conférence régionale des femmes africaines, participe activement à la préparation de la Quatrième conférence mondiale sur les femmes qui se tient à Pékin en septembre de la même année.
Directrice générale adjointe de l’Organisation internationale pour les migrations depuis 1999, elle est réélue en 2004 et conserve ce poste jusqu’en 2009.
Œuvres
2021 : Mon combat pour le Sénégal, Harmattan Sénégal,
Madame Mantoulaye Guène
Madame Mantoulaye Guène
Ministre du Développement social
Gouvernement Niasse I
Entre le 20 octobre 1987 et le 5 avril 1988.
Madame Mantoulaye Guène, née en 1939 à Dakar et morte le 19 janvier 1991 dans la même ville, est une femme politique sénégalaise, membre du Parti socialiste.
Biographie
Mantoulaye Guène est élue à l’Assemblée nationale en 1983. Réélue en 1988, elle meurt au cours de son mandat, en 1991.
Du 20 octobre 1987 au 5 avril 1988, elle est ministre du Développement social.
Madame Caroline FAYE DIOP
Madame Caroline Faye Diop
Ministre de l’Action sociale
Gouvernement THIAM 1
15 mars 1978 – 9 avril 1979
Caroline Faye Diop, née le 11 juillet 1923 à Foundiougne et morte le 29 juillet 1992 à Dakar, est une femme politique sénégalaise, la première femme députée et première femme ministre du pays. Elle était l’épouse de l’homme politique Demba Diop, assassiné en 1967.
Biographie
Origines familiales et études
Caroline Faye Diop naît à Foundiougne (Fatick, alors en Afrique-Occidentale française), le 11 juillet 19231. Elle est la fille de Louis Diène Faye, expert comptable, militant de la SFIO, un des fondateurs du Bloc démocratique sénégalais et de Fatim Diop1. Elle réussit le concours d’entrée à l’École normale de jeunes filles de l’Afrique-Occidentale française, à Rufisque1, d’où elle sort diplômée en 1945, troisième de sa promotion. Parmi ses camarades de classe figurent Annette Mbaye d’Erneville, la première de la promotion, Ndèye Coumba Diakhaté, deuxième de la promotion, Anne Marie Sohaï et Jeanne Martin Cissé.
Carrière d’enseignante
Grâce à son diplôme, en 1945, elle devient institutrice à Louga, à Thiès, à Matam puis à Mbour1, où elle dirige l’école des filles de 1951 à 1962. Dans cette dernière ville, elle rencontre Demba Diop, alors surveillant général du cours normal de Mbour (cet établissement sera renommé en son nom ultérieurement). Elle l’épouse en 19511. Elle rencontre également Abdoulaye Sadji, partisan de l’indépendance, qui l’encourage à poursuivre dans ses engagements politiques. Poursuivant sa carrière d’enseignante, elle intègre en 1948 le Bloc démocratique sénégalais, parti politique qui vient de se constituer. Elle obtient d’être détachée de l’enseignement, pour se consacrer plus spécifiquement à l’animation rurale1.
Carrière politique
Caroline Faye Diop participe à la création du mouvement féminin associé à l’Union progressiste sénégalaise (UPS), nouveau parti sénégalais créé en 1958 et dirigé par Léopold Sédar Senghor1. Le Sénégal acquiert son indépendance en 1960. Proposée par l’UPS comme candidate aux élections législatives, Caroline Faye Diop devient ensuite députée, entre 1963 et 1978. Elle est la première femme de l’histoire du pays à siéger à l’Assemblée nationale1,2.
Dès 1963, elle travaille notamment au sein de cette assemblée sur le projet de création d’un Code de la famille et encourage les femmes à gagner leur vie. Elle sera la seule femme à participer au vote de ce Code de la famille1. Elle a été la quatrième vice-présidente de l’Assemblée nationale. Elle est élue en 1964 présidente des Femmes de l’Union progressiste sénégalaise. La même année, elle devient secrétaire générale adjointe de la Panafricaine des Femmes1.
Son mari est assassinée en février 1967, probablement victime d’un conflit politique3, mais elle poursuit ses engagements.
Elle devient la première femme ministre, en étant nommée, en 1978, ministre de l’Action sociale1,4. Elle est ensuite ministre déléguée auprès du Premier ministre de 1981 à 1982 puis ministre d’État de 1982 à 19831. Une anecdote caractérise son tempérament et son parcours, le congrès du parti de 1957 à Thiès : elle s’y rend et proteste auprès du président Senghor car malgré le nombre de femmes présentes, aucune n’y a pris la parole5.
Caroline Faye Diop estime avoir notamment défendu les droits des femmes de son pays pendant les dix années où elle était seule à l’Assemblée nationale, par exemple en se battant pour le Code de la famille6 ou en faveur des allocations familiales versées aux femmes. Elle estime également que les hommes de son parti ne lui ont pas fait de cadeau5.
Elle meurt le 29 juillet 19925
HISTORIQUE
64 ans d’engagement au service des citoyens sénégalais
Aimé Césaire dans « Discours sur le colonialisme » de 1955 dit ceci : « Une civilisation qui s’avère incapable de résoudre les problèmes que suscite son fonctionnement est une civilisation décadente. Une civilisation qui choisit de fermer les yeux à ses problèmes les plus cruciaux est une civilisation atteinte. Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde ».
La seule politique qui vaille aujourd’hui, c’est celle qui pourra donner à la famille les moyens de pendre en charge ses membres. Là est la solution, l’unique solution
Professeur Fatou Sow Sarr